Une révolution dans la prévision de trésorerie

Fondé en France en 1898, le Groupe Renault est l’un des principaux constructeurs automobiles mondiaux. Aujourd’hui, la multinationale tient une place de choix dans le secteur commercial et industriel, grâce à des véhicules et produits fabriqués et vendus dans le monde entier. Ces dernières années, une alliance stratégique avec les géants de l’automobile Nissan et Mitsubishi Motors a également permis au groupe d’étendre son empreinte à l’échelle planétaire.

Avec 40 usines et 156 000 employés dans le monde, les besoins de Renault en matière de trésorerie et de flux de trésorerie sont importants et incroyablement complexes. De plus, pour rester dans la course, le constructeur français doit augmenter de manière significative ses investissements dans les nouvelles technologies, afin d’assurer la transition vers les véhicules électriques.

Un parcours semé d'embûches

Face à tous ces défis, Renault avait plus que jamais besoin d’une trésorerie de premier ordre et performante. Mais l’équipe restreinte de quatre personnes chargée de gérer la trésorerie pour l’Europe et la division automobile de Renault utilisait encore des outils et des systèmes conçus en 2000. Non seulement le monde (et la technologie) avait évolué, mais Renault avait aussi grandi et évolué depuis lors. Le groupe comptait désormais beaucoup plus de filiales dans le monde, mais le système de gestion EuroCash avait été construit lorsque l’entreprise était plus petite et ne pouvait pas être retravaillé pour faire face aux défis d’aujourd’hui.

« Les outils que nous utilisions étaient obsolètes et mal adaptés au nombre incroyable de transactions que notre équipe devait gérer chaque jour. Le Groupe Renault s’était considérablement agrandi au cours des 20 dernières années qui ont suivi l’adoption de nos outils d’origine. Nous avions désormais besoin d’une solution plus moderne pour gérer la complexité et le volume de transactions que les trésoriers d’aujourd’hui doivent maîtriser. » Cyril Schäfer, responsable de la gestion de la trésorerie en euros

Des importations de données incomplètes et inefficaces, des méthodologies de travail dépassées, des outils obsolètes et une dépendance excessive à l’égard de l’informatique signifiaient que l’équipe EuroCash Renault avait besoin de moderniser son modus operandi : sa trésorerie. Continuer à gérer un flux de trésorerie quotidien allant jusqu’à un milliard de dollars par jour sur des feuilles de calcul Excel était incroyablement risqué, les outils pouvaient devenir obsolètes à tout moment et seule Sylvie connaissait les tenants et aboutissants du fonctionnement réel. Il était précaire de laisser le sort des opérations de trésorerie européenne entre les mains d’une seule personne, si quelque chose se passait mal, personne d’autre ne pourrait intervenir pour résoudre le problème.

« L’équipe Datalog a vraiment été à l’écoute, ce qui nous a permis de trouver la bonne solution pour chacun de nos défis.”

Sylvie Faure, Experte en prévision, Renault

Vers de nouveaux horizons

Renault a donc étudié et évalué les différentes solutions disponibles et, bien que le système de gestion de trésorerie de Datalog ne soit pas apparu si différent des autres systèmes du marché, il s’est distingué de ses concurrents pour deux raisons principales :

1/ Datalog était capable de lire les relevés bancaires et de les convertir directement en détails de trésorerie lisibles, puis de les classer dans des catégories prédéfinies afin que les informations puissent être utilisées pour établir des prévisions de trésorerie.

2/ Le système de Datalog a été conçu pour que les utilisateurs puissent facilement créer et modifier eux-mêmes les règles, sans devoir attendre l’intervention du service informatique ou du fournisseur de logiciel.

Ces deux raisons étaient suffisamment convaincantes pour que Renault décide de se lancer avec les modules de gestion et de prévision de trésorerie de Datalog.

Une vision d'ensemble

« Nous devons être en mesure d’anticiper les hausses et les baisses de trésorerie de la manière la plus précise possible, afin de nous assurer que nous pouvons remplir toutes nos obligations financières en temps voulu », explique Sylvie Faure, experte en prévisions. “Datalog est le seul système qui nous offre une vision analytique de trésorerie que nous recherchions, sur la base de nos propres règles complexes. »

Si, avant Datalog, Renault pouvait importer dans son système les données des relevés bancaires, ils ne pouvaient que lire les chiffres et les traiter mathématiquement.

Grâce à Datalog, Renault est désormais en mesure d’importer les données des relevés bancaires directement dans son système, ce qui lui donne accès à un niveau de détail permettant d’affecter automatiquement des catégories budgétaires à chaque ligne, au fur et à mesure de l’importation des données. Ces dernières sont alors prêtes à être utilisées pour les prévisions de trésorerie et autres opérations. Le temps et l’énergie économisés en n’ayant pas à effectuer cette étape supplémentaire manuellement ont changé la donne pour l’équipe de trésorerie européenne.

Meilleur, plus rapide et plus autonome

Avec Datalog…

1/ Renault utilise des outils plus modernes et adaptés à ses besoins, ce qui lui permet d’exploiter les dernières technologies sans problème de rétrocompatibilité.

2/ Renault a gagné une bien meilleure maîtrise et visibilité de ses prévisions de trésorerie et de l’évolution au jour le jour de tous les comptes bancaires et devises qu’il gère, ce qui constitue un atout considérable pour maîtriser les fluctuations de trésorerie.

3/ Les membres d’une même équipe peuvent travailler à tout moment et deviennent interchangeable grâce à la plateforme collaborative, partageant les responsabilités et se relayant en cas de besoin.

4/ L’équipe de la trésorerie est moins dépendante des services informatiques, ce qui lui permet d’agir plus rapidement, et de faciliter le travail collaboratif à l’échelle mondiale.

Une toute nouvelle ère

« Grâce à la fonction de rapprochement journalière de Datalog, nous obtenons des données précises et en temps réel, et passons désormais moins de temps à les collecter et les trier. Ce qui nous en laisse davantage pour mettre à profit nos compétences et nos connaissances en matière de trésorerie », explique Sylvie.

Avec Datalog

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